comics début mai

X-Force 3, un pot-pourri du passé de la série.

X-Men Legacy 210, autre pot-pourri.

X-Men Free comic Book day, à qui est destiné ce numéro? Une jeune fille rêve de faire partie des X-men, cela semble viser un public jeune mais le thème est l'horreur avec des démons et du sang.

New Avengers 40, numéro qui explique le plan des Skrulls.

DC Universe 0, une bande annonce consacrée à Final Invasion et aux tie-ins. Accrocheur.

Le one-shot Black Tarantula/Daredevil par Brubaker et Parks est plus une histoire du premier que du second et ce personnage ne m'intéresse pas depuis le début. C'est la 3e fois que Brubaker fait intervenir le personnage.

Dans Immortal Iron Fist 14 Fraction et Brubaker concluent leur histoire des sept cités célestes.

Green Lantern 30, Johns nous reraconte l'origine de Green Lantern comme vous ne l'avez jamais vue. Crisis avait été l'occasion de moderniser les origines des héros Dc avec plus ou moins de bonheur. Infinite Crisis est pris comme opportunité de réparer les dégats causés après crisis et de ne retenir que les meilleurs éléments. Mais Johns va encore plus loin. Ainsi la mort d'Abin Sur est l'occasion pour lui de mêler Sinestro et Atrocitus (un nouveau méchant) au mythe. Du coups il semble que cette origine secrète va s'étaler sur six numéros. Pour ceux qui aurait aimé que l'on reste à l'époque contemporaine il faudra se contenter des pages de DC Universe 0 sur The Blackest Night.

Ex Machina 36, début d'une nouvelle histoire de ce thriller politique super-héroique.

Fables 22 est le début de 1883, un western avec jack à la tête d'un gang et Bigby sur ses traces.

Youngblood 3 Joe Casey s'inspire de X-Statix et nous livre une histoire tout à fait acceptable.

Action Comics 864 sert de conclusion à l'épopée de Superman au XXXIe siècle et à la mort de Karate Kid et Una dans Countdown mais aussi de prélude aux trois Légions. Johns utilise Batman et Lightning Lad comme deux opposés.

Black Summer 6, Ellis nou sintéresse avec son histoire de super-humains contre les USA mais hélas, le dessinateur noie les scènes d'action de détails de sorte qu'on ne comprend rien à ce qui se passe.

Hercules de Steve Moore, le style est trop sombre et illisible. Quand les éditeurs comprendront-ils qu'une BD doit être visuellement lisible?

Ms Marvel 26, des Skrulls partout. Yawn.