DC Countdown 13, sans intérêt
Conan 48, 2e partie de La Main de Nergal, ce titre a bien changé avec le départ de l'équipe d'origine (directeur de publication, scénariste, dessinateur et coloriste). Le nouveau dessinateur a un style vigoureux en sa faveur. L'interligne est trop serré dans les bulles, ce qui rend les dialogues difficile à lire. Sans avoir suivi les ventes, je suis prêt à parier que le relancement de la série est lié à une chute. Espérons que ce relancement sera l'occasion de reformer une équipe solide.
Y, the Last Man 60, dernier numéro. Après la mort choquante dans les précédents numéros, celui-ci a lieu 60 après et l'on visite quelques moments de l'histoire de Yorick tout en ayant un aperçu de ce qu'est devenu le monde. Ce n'est pas une finale en apothéose, ni une finale heureuse, ce qui en décevra certains.
Batman 673 nous rconte ce qui s'est passé après l'arrêt cardiaque de Batman dans le dernier numéro. C'est une histoire embrouillée avec Joe Chill et Bat-Mite qui tient plus du rêve que d'autre chose.
Black Summer 5 continue la série de Warren Ellis qui présente une histoire de super-héros qui repousse les limites du genre qu'il avait déjà repoussé dans Authority. Le dessin hyper-détaillé de Juan Jose Ryp manque de clarté et le coloriage n'arrange rien, il faut faire un vrai effort pour discerner les images, mais le commentaire politique d'Ellis en vaut le coup. Alors que les histoires de super-héros présupposent toutes que l'existence de surhommes laissent la société intact, ici on voit comment cela mène à une guerre que l'armée ne peut gagner.
Project Superpowers 0 lance le nouveau projet de Jim Krueger et Alex Ross avec Doug Klauba et Stephen Sadowski. Ils s'approprient des héros des années 40 qui sont tombés dans le domaine public pour nous raconter leur retour 60 ans plus tard. Les lecteurs de Tom Strong et Terra Oscura reconnaitront certains de ces personnages. Cette série ne semble cependant pas aussi intéressante que The Twelve de Straczynski qui part d'une idée similaire.
Green Lantern 27 ne déçoit pas. Geoff Johns nous présente les Alpha Lanterns, dernier développement dans son élaboration croissante des Green Lanterns.
Captain America 34 nous présente le nouveau Captain America. Ce n'est pas une surprise
pour ceux qui ont suivi la série, c'est en fait la continuation de tout ce que Brubaker a fait depuis le numéro 1, il nous raconte une longue histoire sur 50 numéros en moins. D'une certaine façon, dans sa structure, cette série est à rapprocher des séries Vertigo de longue haleine comme Sandman, Preacher, Y The Last Man ou Fables ou, pour rester dans le monde des super-héros, le Daredevil de Bendis ou le Starman de Robinson.
Ed Brubaker encore dans Daredevil 104 nous présente la prochaine étape dans le guerre entre DD et Mister Fear. De plus, la confrontation annoncée entre Mister Fear et The Hood (le nouveau chef de la pègre inventé par Bendis dans New Avengers) a lieu.
Captain America The Chosen 6 marque la fin de cette série qui n'aura pas convaincu malgré un bel effort du dessinateur.
Fantastic Four 553 est le dernier numéro de Dwayne McDuffie et Paul Pelletier. Les personnages sonnent faux. La seule partie intéressante est la dernière phrase. Vivement du sang neuf avec l'arrivée de Mark Millar et Bryan Hitch. Il reste à voir si l'équipe de Authority et Ultimates réussira son coup sur ce titre.
What If Spider-Man vs Wolverine est un What If qui se passe au moment où Peter allait se rapprocher de Mary Jane. Ici l'histoire prend uen autre tournure et Peter se retrouve impliqué dans le monde de l'espionnage. Absurde et incohérent.
House of M Avengers est le meilleur titre des Vengeurs. Dommage que cette série limitée s'arrête au prochain numéro mais elle n'a pas été conçue pour continuer et c'est peut-être aussi bien ainsi.
Mighty Avengers 8 conclut l'invasion des symbiotes. Mark Bagley fait du bon travail mais le scénario de Bendis, malgré ses tentatives d'originalité dans la narration, est assez creux.
New Avengers Annual 2 raconte une bataille entre une armée de super-vilains et les Vengeurs.
Death of the New Gods traine en longueur. Les dessins de Starlin se sont nettement améliorés depuis les premiers numéros mais l'histoire ne méritait sans doute pas de s'étendre sur 8 numéros.
Action Comics 861, 4e partie de l'aventure avec la Légion des super-héros. Une introduction passionante à cet élément de la mythologie de Superman. Geoff Johns a un véritable don pour mettre en valeur les personnages DC tombés dans l'ombre.
The Spirit 13 est le premier numéro sans Darwyn Cooke (qui fait la juste couverture). Il contient trois histoires. Celle d'Eduardo Risso est la meilleure. La place de ce genre de personnage dans le monde des comics est incertaine. Les plus grands succès sont les histoires à long terme.
Badger Saves the World 2, personne n'écrit comme Mike Baron. Le retour de Badger est une excellente nouvelle.
Spider-Man With Great Power is a retelling of his first days after he was bitten. However all characters look different and this is not like Kurt Busiek's Untold Tales.
samedi 2 février 2008
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